Nous ? C'est le terrain !
ECSEL s'attache à être au plus près de vous.
Les nouvelles technologies sont utilisées. Elles sont même très employées.
Mais dans certaines limites.
Notre tâche est d'être au plus près des représentant(e)s du personnel.
- Nous allons voir les élu(e)s,
- Nous participons à leurs réunions préparatoires,
- Nous les formons régulièrement,
- Nous réalisons des travaux d'expertise en cas de dossier "lourd",
Nous les assistons tout au long de l'année !
Un interlocuteur leur est dédié. Le suivi est donc optimisé.
Indépendants ?
D'un certain point de vue.
Car nous ne dépendons que de nos clients.
Ceux et celles à qui nous devons ce que nous sommes.
Envie de tester ? Nous vous proposons un rendez-vous sur simple demande.
Vaccination par les services de santé en entreprise
Les services de santé au travail ont également pour mission de participer à la lutte contre la propagation de la Covid-19.
Ils peuvent ainsi contribuer aux actions de dépistage et de vaccination définies par l’État (ordonnance n° 2020-1502 du 2 décembre 2020 et ordonnance n° 2021-135 du 10 février 2021).
Un Protocole pour la vaccination par les médecins du travail au moyen du vaccin AstraZeneca (AZ) a ainsi été défini.
Les limites et conditions de leur intervention sont désormais définies au moyen d'un "questions-réponses" disponible en cliquant sur ce lien.
Ainsi :
- les médecins du travail ont désormais la possibilité de vacciner des salariés volontaires des entreprises adhérentes qui font partie de ce public,
- les frais de telles actions ne sont pas à la charge de l'entreprise ou des travailleurs (vaccins fournis par l'Etat - pas de surcout de cotisation pour les employeurs),
- les salariés bénéficient du droit à ne pas faire connaitre à l'employeur leur choix de se faire vacciner ou pas,
- le salarié conserve le droit de refuser de se faire vacciner,
etc...
Nous vous invitons à examiner le questions-réponses au cours de vos prochaines réunions préparatoires
Bien à vous
Etes-vous prêt(e)s à affronter 2021 ?
Cette année s'annonce difficile pour beaucoup d'entre vous. Bien plus, peut-être, que l'année 2020.
Car si 2020 fut celle de l'irruption de la COVID 19 dans nos vies, 2021 sera probablement celle de "l'ardoise à payer"....
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le taux de défaillance des entreprises n'a pas augmenté. Il a même diminué !
Car les mesures d'aide au soutien de l'économie ont crée une sorte de "bouclier" face à la crise.
Mais combien de temps ce bouclier va-t-il permetttre de réduire les effets de la crise sanitaire sur l'économie ? sur votre entreprise ? Sur vos emplois ?
Plus que jamais, vos missions récurrentes, et les consultations qui vont avec, doivent être menées avec attention. Bon nombre d'entre vous ont ainsi suivi leur formation "post électorale".
Mais avez-vous suivi la formation destinée à anticiper ou à assumer les conséquences de la crise sur l'emploi ?
Que vous présumiez ou que vous connaissiez ces risques, nous vous invitons à examiner le programme dédié à la formation des représentants du personnel au risque de restructuration.
Et nous nous tenons à votre disposition pour vous renseigner.
Recours à la visioconférence pour le CSE
Une ordonnance du 25 novembre 2020 permet à nouveau, jusqu'à l'expiration de l'état d'urgence sanitaire, de réunir les instances représentatives du personnel par :
- visioconférence,
- audioconférence,
Voire, par défaut, par messagerie instantanée.
Le recours aux conférences téléphoniques sera précisé par décret,
Les réunions pourront être organisées par messagerie en cas d’impossibilité de recourir à la visioconférence ou à la conférence téléphonique.
Un decret, en attente, précisera les conditions à remplir.
Fort heureusement, le CSE sera en mesure de s'opposer à une telle décision dans certaines hypothèses :
- procédure de licenciement collectif pour motif économique,
- mise en œuvre des accords de performance collective,
- mise en œuvre des accords portant rupture conventionnelle collective,
- mise en œuvre du dispositif d’activité partielle de longue durée.
Le CSE pourra, au plus tard 24 heures avant le début d'une telle réunion, s’opposer à la décision de l'employeur.